Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (110)

Je viens de dépenser 300 000 € pour acheter le pavillon mitoyen de celui de Valérie quand je remarque l’attirance de Livia pour Illy, la responsable de l’agence immobilière et allant même jusqu’à lui donner rendez-vous.
En ce moment, la jolie salope qui a cru me tromper sans recevoir la punition qu’elle mérite, se tortille sous ma main qui la claque allègrement.

• Non, arrête mon cœur, je sais que j’ai été méchante.
Arrête quand nous allons-nous redescendre à Paris, mon arrière-train aura des difficultés à se poser sur la selle de ma moto.
• Au contraire, plus tu auras mal et plus la punition entrera dans ton crâne.
On évite de tromper impunément sa maîtresse même si elle est enchantée du rendez-vous que tu as soutiré à cette jolie petite pute.
J’espère qu’un jour tu me la prêteras.
Demain si tu veux, tu viendras avec moi.

J’arrête mes claques et je commence à lui caresser les fesses.
Mon dieu, je me suis laissé emporter, elles sont rubicondes.
Pour me faire pardonner, je glisse ma main dans sa fente qui est plus que mouillée, elle dégouline sur ma jupe que j’ai toujours sur mes fesses.

• Ma belle cochonne fait moi voir ce que tu vas lui faire demain et cela me suffira.

Elle se redresse, m’embrasse une nouvelle fois mais plus profondément que d’habitude, ce baiser ressoude le couple de libertines que nous souhaitons être et que nous sommes.
Après une heure.

• Les plaisirs lesbiens, c’est bien, mais le plaisir des billets sous mes doigts, c’est bien aussi.
Emmène-moi me faire éclater par une verge que j’espère puissante.
• Berque.

De retour chez Livia, je me prépare et j’entre au Novotel Gare de Lyon évitant de passer par l’accueil ou je monte à la chambre du client.
Bel homme, la quarantaine bien frappée, c’est habillé dans un peignoir de l’hôtel qu’il me reçoit.

• Vous êtes Magali, je vous reconnais, vous êtes aussi jolie que sur votre photo sur votre site d’escorte.


Entrée, nous allons faire connaissance, je dois vous dire que je suis un peu mal à l’aise.

Qu’as-tu mon gros chaton, tu sembles avoir de la peine Magali vas te soulager.
Quand il m’appelle Magali, comme hier j’ai jailli regardé derrière moi pour voir qui est cette Magali, un mois à le plus souvent me faire appeler Christine même si Magali a fait des extras dans cette période.
Mon client me présente un visage de chien battu et semble oublier mon enveloppe.

• Je suis tellement perturbé que j’oublie le principal pour vous.
• Le principal, j’en ai besoin pour vivre, mais le principal est ailleurs, j’espère vous le faire voir cette nuit.

Il faut être faux-cul dans la vie, mais en restant pragmatique en ouvrant et en recomptant si la somme que ma prestation vaut pour une nuit est bien conforme.
15 billets de 200 €, les 3 000 sont là, je viens de récupérer le 100e de mon pavillon, je vais devoir encore voir beaucoup de queues pour rentabiliser mon investissement, mais je compte sur mon idée préparée avec Frédéric et Ophélie pour accélérer ces remboursements.
En attendent les cent queues minimums qui me sont promises, il faut que je m’occupe de cette number one qui semble légèrement problématique.

• Je peux aller dans la salle de bains.
• Oui, c’est par là.

Je me déshabille, pratique quelques ablutions et je vais me coucher sur le lit.
Pas simple le monsieur, il s’est assis sur une chaise près du lit légèrement recroquevillé se tordant les mains posées sur ses genoux.

• Viens mon bébé, viens voir la dame.

J’ai dit cette phrase sans penser à la manière dont je traite cet homme très viril surtout en manquant de dire viens voir, maman, ce qui serait mal venu.
C’est sa posture qui m’a fait penser à celle que je prenais chez mes parents pour leur avouer que j’avais fait une bêtise.

• Soient un grand, viens dans mes bras la dame va te caresser, te consoler de ce gros chagrin qui te submerge.


Sans un mot l’homme fini par m’écouter et venir dans mes bras.
J’improvise, car j’ai du mal à comprendre si le client joue ou s’il a vraiment une grosse peine venue du fond de lui.
Mon corps est à sa disposition comme le contrat financier que nous avons conclus en me donnant mon enveloppe, lui permet.
Pourquoi semble-t-il vouloir refuser d’en profiter ?
Pourquoi l’ordre d’écarter mes cuisses pour me pénétrer avec sa verge que je vois tendue quand je regarde son bas-ventre, reste lettre morte ?
Un premier sanglot car ses yeux commencent à me montrer des larmes qui tombent sur mes seins.
Plusieurs minutes à me poser des questions sur ce que je dois faire quand enfin il lâche quelques mots.

• Ma femme, c’est ma femme.

Sa femme, que lui fait-elle, elle le bat ou le martyrise, j’ai du mal à discerner.
Ce serait un , il faudrait que je prévienne les services sociaux qu’un subit des brimades ou des maltraitances, mais que dit la loi pour les hommes mariés.

• Elle te bat.
• Non.

Et ses sanglots redoublent.
Je saisis sa verge et commence à le masturber, j’aimerais qu’il se déplace pour que ma bouche vienne la mettre au chaud, mais il s’agrippe à mon bras refusant de le lâcher.
Et enfin il me dit une partie de son gros problème.

• C’est la première fois.

La première fois que quoi j’aimerais le savoir, mais une nouvelle quantité de larmes sortent de ses yeux.
Valérie est une femme fontaine par sa chatte et mon client est un homme fontaine par ses yeux.

• Que, que je la trompe.

Remettons les choses en place l’une après l’autre, il a un gros chagrin parce que pour la première fois il va tromper sa femme en plongeant dans ma chatte.
Sa verge serait flasque, ce serait un problème mais la dague qu’il me présente est faite pour entrer dans le corps d’une femme, cela tombe bien mon vagin se trouve à quelques centimètres et attend pour être honoré.


• Tu crois que je le peux, elle continuera à m’aimer.
• Si tu le gardes pour toi, ce secret restera entre toi et moi.
• Oui, mais je saurais jusqu’à la fin de ma vie qu’une femme sait que j’ai trahi mon serment.
• Trahi, c’est un grand mot juste écorné.
Essaye de venir en moi, j’en ai envie, mets ta main au creux de ma chatte regarde comme tu me fais mouiller.

Ces larmes et son refus de trahir la femme qu’il a épousée m’émeuvent et je sens que mon intimité réagit en devenant trempée.
Et d’un coup, je me laisse couler sous lui et naturellement sa verge entre en moi et à partir de ce moment ayant franchi son point de blocage, il devient un amant merveilleux, un client prévenant et pendant des heures il me pénètre allant même jusqu’à me sodomiser.
Je suis contente de moi, je lui ai permis de réaliser son fantasme de faire l’amour avec une autre femme que celle à laquelle il avait juré fidélité se privant des moments charmants que nos deux corps se procurent dans cette nuit qui devient merveilleuse.
Au matin, je suis lové dans ses bras.
J’ai une hantise qu’il me dise qu’il va divorcer pour m’épouser, car je suis certaine que sa régulière est bien moins vicieuse au lit que moi.
Je sais que je suis la number one et la plus grande des amantes, des salopes et des putes, pardon comme me le dit une amie escorte comme moi chaque fois que l’on se rencontre la plus grande des courtisanes sur la place de Paris.

• Bon, assez batifoler, laisse-moi me lever que je te récompense à la hauteur de la repartie que tu as eu à garder ton calme contre le personnage que j’ai joué.
Je fais partie de la ligue d’improvisation et j’aime jouer des rôles avec les escortes qui sont mais partenaire de jeu sans le savoir.
Tu as été la meilleure, car je sens en toi la sensibilité que tu as envers les autres et je crois que mon personnage t’a touché.

Il m’a pris pour une conne et je suis très en colère.

Je vais à la salle de bain, je prends l’argent qu’il me tend et je pars le port de tête haut et fier.

• Dommage que mon jeu fonctionne qu’une fois, j’aurais aimé improviser une autre fois avec toi.

J’entends la fin de son propos quand la porte claque.
Je sais que je vais demander à Valérie de refuser de lui donner une partenaire s’il le veut de nouveau, car on est peut-être des putes, mais je pense qu’un minimum de respect doit régir nos rapports avec nos clients.

Je rentre en taxi très courroucé et Livia qui vient m’ouvrir se sent obligée de me réconforter une fois de plus sous la douche avant de s’occuper de ma chatte sans aucune improvisation sur tous les plaisirs qu’elles me procurent.
Il est treize heures quand je repars, car j’ai un contrat plus simple je l’espère sans que l’on se fiche de ma figure.
Le lendemain matin dimanche, je retourne chez Livia, la chatte bien rassasiée, cette fin du mois d’août m’a permis de remplir mon compte et d’acquérir la maison que je souhaite offrir à notre smala.
Le dimanche vers midi, nous remontons chez Valérie, car Livia a rendez-vous avec Illy chez son amie.
Je descends de la moto qui redémarre en faisant une roue arrière et quand j’entre dans la maison la voix qui parle avec en retour celle de Valérie est loin de m’être inconnu…

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